D’où vient votre nom de scène ?
Mon nom de scène est en rapport avec ma personnalité : j’aime analyser tout ce qui se passe dans ma vie. « Prima » est un mot allemand, avant de venir à Paris pour devenir une Crazy Girl, je vivais en Allemagne.
Comment devient-on danseuse au Crazy Horse ?
Pour devenir danseuse au Crazy Horse il est nécessaire de travailler dur et d’avoir du self-control. Il faut également être complètement amoureuse de l’endroit et du métier que vous faites.
Quelle est votre motivation pour bien commencer la journée ?
Ce qui me motive est de savoir que nous faisons quelque chose d’unique au monde. Il n’y a aucun autre spectacle comme le Crazy Horse, c’est la classe absolue.
Quel est votre meilleur secret beauté/forme ?
De la bonne humeur, faire attention à son alimentation et beaucoup de repos.
Quels sont vos rituels avant de monter sur scène ? Votre préparation Crazy ?
Je n’aime pas trop discuter avant le show, je veux rester calme et concentrée. J’imagine que je deviens une autre personne pendant que je fais mon maquillage et mes cheveux, je me transforme en Prima Analytic, la Crazy Girl !
Quel est votre meilleur souvenir au Crazy Horse ?
La première fois que j’ai vu le spectacle du Crazy Horse, j’ai acheté à la boutique un string très mignon, avec l’iconique bouche rouge. Je l’ai toujours.
Quelle est la femme qui vous inspire le plus ?
Je n’en ai pas particulièrement. Mais j’apprécie les femmes des années 50 et 60 avec leurs looks. Comme ces stars iconiques d’Hollywood, Marylin Monroe et Audrey Hepburn.
Qu’est ce qui est « Crazy » pour vous et qu’est ce qui ne l’est pas ?
Pour moi « Crazy » c’est un mode de vie. Tout doit être dans le style : glamour et unique. La frontière est mince entre la beauté, la sensualité et l’érotisme. La sensualité sans trop en dévoiler est « Crazy », tout est dans l’imaginaire.
3 mots pour définir une femme Crazy ?
Assurance, sensualité, beauté
Photos : Paul-Henri Pesquet, Rémi Desclaux