Nous recherchons des artistes de variété pour présenter des numéros originaux et surprenants, d’une durée de 2 à 5 minutes, dans des disciplines telles que l'humour, le jonglage, la magie, la contorsion, l'acrobatie, etc. Peu importe votre talent, nous attendons de vous un numéro drôle, décalé et inédit, qui saura captiver notre public.
Comment postuler ?
Envoyez votre candidature (CV, photos, démo vidéo) à casting@lecrazyhorseparis.com avant le 10 février 2025.
Les auditions se feront sur convocation uniquement.
Le Saviez-vous ?
Crazy Horse Paris est un employeur qui respecte l'égalité des chances. Nous célébrons la diversité et nous engageons à créer un environnement inclusif pour tous les artistes.
Crédits photos : Paul-Henri Pesquet, Michel Dierickx, Ayesha Hussain
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Crédits photos : Paul-Henri Pesquet, Michel Dierickx, Rémi Desclaux, Juliette Lambert
C’est le cas pour nos deux dernières recrues qui sont entrées la semaine dernière dans la légende des danseuses du Crazy Horse après des mois de travail intense. Leur traditionnel baptême de leur nom de scène s’est effectué avant leur première apparition sur scène.
Nous sommes ravis de vous présenter : Gypsy Jane et Sunny Rockstar ! Avec de tels noms de scène, pas de doute, leur futur sera radieux !
Saviez-vous que plus de 800 Crazy Girls se sont produites sur la scène illustre et réputée du cabaret ?
Après Uma Wanderlust, Elvie Varsovie, Santa Stiletto et Leni Panorama cet été, nous sommes heureux de vous présenter Sofia et Piper, les deux dernières recrues, actuellement en formation intensive au Crazy Horse.
Comme le veut la tradition au Crazy Horse, leur baptême de leur nom de scène s’effectuera le soir de leur première apparition publique. Rendez-vous dans quelques semaines pour le découvrir !
Comment décrirais-tu ton expérience au Crazy Horse ?
Mes 5 années ici ont été fantastiques ! Il est impossible de mettre des mots justes pour décrire cette expérience, ce lieu unique au monde et ce que signifie de s’exprimer en tant qu’artiste sur cette scène... C’est un monde complètement différent ici ! Au Crazy Horse, tout est tellement unique, émouvant, touchant, stimulant et puissant ! Mon parcours ici a façonné la femme que je suis devenue aujourd’hui... et continuera pour le reste de ma vie ! On dit « Crazy Girl un jour, Crazy Girl toujours », j’y crois beaucoup !
Quel est ton meilleur souvenir ici ?
Il y en a tellement ! J’ai de très bons souvenirs avec les danseuses en coulisses : chaque soir, il se passe des choses amusantes, et je me suis faite des amies incroyables. Mais l'un de mes meilleurs souvenirs est sans doute d'avoir eu l'occasion de danser et interpréter le numéro « … But I am a Good Girl ». Je n'oublierai jamais le moment où j'ai découvert mon nom sur le planning des répétitions pour l'apprendre. C'est mon solo préféré et c’était la raison pour laquelle j'ai voulu rejoindre le cabaret !
Quelle est le principal enseignement que tu as appris en tant que danseuse ?
De s’amuser ! Lorsque je suis arrivée, j'étais très nerveuse, cette troupe est tellement iconique… Mais je pense qu'il est possible de travailler dur, de viser le meilleur, tout en profitant de chaque instant et en s’amusant. C'est pour cela que nous sommes danseurs professionnels, parce que nous aimons la danse plus que tout !
Qu’est ce qui va te manquer le plus ?
Tous les moments en coulisses avec les danseuses, c’est certain ! Mais aussi le fait de travailler quotidiennement avec des personnes incroyables et inspirantes. Et surtout, de danser mon tableau préféré, « But I am a Good Girl » !
Quels sont tes projets ?
Continuer à être Crazy ! J'ai des rêves et des objectifs que je veux atteindre. J'aime l'aventure : je veux continuer à parcourir le monde. Et je souhaite passer plus de temps avec ma famille et mes amis, car cela fait longtemps que je suis loin d’eux.
Pour finir, je tiens à remercier tous ceux qui ont joué un rôle important dans cette incroyable aventure.
Photos : Paul-Henri Pesquet, Rémi Desclaux
« Cette série, prise à l’agentique, montre la danse à l’état « brut » : puisqu'il s'agissait d'une répétition, il n'y avait pas de costumes. J’ai capturé l’effort des danseuses pour rendre les mouvements parfaits. La tâche était particulièrement ardue en raison des changements constants de l’éclairage, alternant entre lumière et d'obscurité. Cet environnement dynamique m'a poussé à m'adapter rapidement et à trouver des solutions créatives. Cette expérience est l'une des meilleures de ma carrière. »
Photographe documentaliste et portraitiste née à Saint-Pétersbourg, Daria Troitskaia a grandi à Vienne et vit à Milan. Formée dans une école d’art, elle a également travaillé comme directrice artistique avant de se tourner pleinement vers la photographie. Son parcours artistique est défini par quatre éléments essentiels : le mouvement en continu, le sens de l'aventure, des défis personnels et une perspective unique.
En 2020, Daria Troitskaia a publié « Maltese Exposures », un livre de photographie de rue prises à Malte. Outre la prise de vue et sa théorie, elle s’intéresse également aux appareils photo en eux-mêmes : elle a réuni une impressionnante collection d’appareils photo et aime expérimenter différents équipements.
Acclamée tant par le public que par la presse – Le Parisien qualifie la prestation de Violet Chachki de « moment incroyable ...qui électrise le public » – Violet se produit aux côtés des danseuses du Crazy Horse mais aussi en solo. Parmi ses numéros : un effeuillage burlesque, une adaptation du célèbre tableau « Attitude » avec l’artiste Johny Boy, ainsi que « Scanner », « Lay Laser Lay » et « You Turn Me On ». De véritables défis relevés avec brio et salués par des ovations de la part du public.
Côté costumes, du sur mesure signé Ludovic de Saint Sernin, Coperni, Disco Daddy et Christian Louboutin, des bijoux créés par Alan Corcetti, le tout sublimé par des jeux de lumière totalement réinventés pour ces shows.
Cet événement unique inscrit une nouvelle page dans l’histoire des collaborations artistiques du Crazy Horse, suivant les pas de légendes telles que Dita Von Teese, Pamela Anderson, Viktoria Modesta, Lisa des BlackPink …
Le Crazy Horse, une Maison en perpétuel mouvement, continue d’évoluer et de surprendre.
Vidéo : Alexandre Berquin, Alistair Girardot, Clément Lulé
Photos : Antoine Poupel
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Le Crazy Horse a été choisi pour lancer une nouvelle série de projets culturels intitulés « Dialogue », dirigés par Pieter Mulier, directeur artistique de la Maison Alaïa.
Le mythique cabaret parisien fascine Pieter Mulier et incarne pour lui une forme d’art à part entière.
En réalité c'est en 1979 que débute l'histoire entre les deux Maisons quand Azzedine Alaïa crée des costumes de scène pour les danseuses du Crazy Horse. C'est également au cabaret qu'Azzedine apprend et comprend le corps de la femme.
D’ailleurs, c'est dans la cour de la Fondation Alaïa, rue de la Verrerie à Paris, que se trouve aujourd'hui "Le Sein", moulé sur une danseuse du Crazy Horse par César, ami proche d'Azzedine et du célèbre cabaret.
Ce sont tous ces éléments qui ont fait du Crazy Horse un choix évident pour le nouveau projet artistique de Pieter Mulier.
Sam Rock a photographié, sur la scène et dans les coulisses du Crazy Horse, onze des célèbres danseuses : Nini Pompei, Sake Spotlight, Echo Paradox, Frida Whirlwind, Sassy à la Mode, Prima Analytic, Aqua Marine, Zitta Zurbaghan, Pixelle Canon, Margaux La Chapelle et Yuzu Azenor.
A travers l'objectif de Sam Rock, les onze danseuses alignées, dans leurs onze robes de onze couleurs différentes, composent un moment aux allures cinématographique, entre la réalité et la fiction. Un rêve, peut-être. La rangée de couleurs crée un rythme, une musicalité, un mouvement.
Car Alaïa, comme le Crazy Horse Paris, est avant tout une maison en mouvement.
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Olivia, d’origine australienne, porte désormais le nom de Cookie Cupcake. Elle raffole des bonbons, des sucreries et prend toujours les choses du bon côté. Avec une personnalité forte et douce à la fois, Cookie se qualifie elle-même de « neurodivergente » avec une réelle envie d’enflammer la piste du Crazy Horse.
Alora-Rose, américaine originaire de New York, est holistique dans son approche à la vie et est très attachée à la terre. Elle s’appelle désormais Alma Lakota. Alma fait référence à la terre nourrissante mais également à Alma Marceau, le quartier de Paris qui abrite le Crazy Horse. Quant à Lakota, il s’agit de la tribu amérindienne à laquelle appartenait le chef Crazy Horse, qui a donné son nom au cabaret. Lakota veut aussi dire « amie » en Navajo.