La célèbre créatrice de lingerie Chantal Thomass a pris les rênes du Crazy Horse pendant trois mois, avec un spectacle intitulé Dessous Dessus, dont elle signe la direction artistique.
Chargée de créer quatre tableaux inédits et d’imaginer les costumes et la mise en scène du spectacle, elle apporte également sa touche personnelle sur des tableaux « classiques » du répertoire.
La créatrice à l’incontournable carré noir nous raconte en exclusivité comment elle s’apprête à relever ce défi et à mettre le Crazy Horse sens et sans Dessus Dessous !
Quelle sera la touche « Chantal Thomass » dans ce nouveau show ?
J’ai toujours beaucoup aimé les spectacles du Crazy et j’avais envie d’y apporter une touche personnelle avec mes propres codes, une certaine dose d’impertinence que j’ai dans ma personnalité et qui est peut-être un peu différente de celle du Crazy et des idées de tableaux différentes et j’espère aussi un peu surprenantes (rire).
Je vais également faire porter aux danseuses un peu plus de vêtements que d’habitude, mais rassurez-vous … elles les enlèveront !
Dans ce nouveau rôle de Directrice Artistique du Crazy Horse, quels sont vos plus grands défis ?
Ce qui est complétement nouveau pour moi … c’est que je ne maitrise pas tout !
J’ai, par exemple, une toute petite scène ! Pour la petite anecdote j’ai eu un problème de hauteur… Au début j’avais prévu de faire porter aux danseuses des chapeaux de 50 cm de haut mais je me suis vite rendu compte que ça n’allait pas être possible.
Il y a aussi une réelle adaptation à faire avec les costumes. On a essayé plusieurs choses où les danseuses m’ont tout de suite dit « ça, je ne pourrais pas danser avec ». Il faut bien noter qu’elles bougent vraiment beaucoup, donc c’est un réel défi de les habiller.
Il faut vraiment penser à tous les détails, comme un metteur en scène, et c’est assez différent d’un défilé.
Comment ça se passe pour la création des numéros ?
Le processus créatif commence avec des dessins et des croquis qui reflètent nos imaginations, nos idées et ce qu’on avait envie de montrer sur scène. Après il y a une réelle adaptation vis-à-vis de la chorégraphie. Je collabore avec un chorégraphe qui est formidable, Stéphane Jarny, et je n’ai pas grand-chose à dire car il s’y connait bien mieux que moi !
Il y a également l’influence des différentes chansons et musiques qui vont composer le show. J’ai envie que les paroles des chansons, qui sont la plupart du temps en français, s’adaptent à l’histoire que j’ai voulu raconter et aux costumes.
Ce qui m’a vraiment étonné au début c’est qu’on a essayé des quantités de pièces de lingeries différentes, et il y en a qui sont spectaculaires et on pense que ces pièces-là sont les plus belles et pourtant elles ne sont pas extraordinaires sur scène. Et à l’inverse des pièces qui nous semblaient moins intéressantes, deviennent celles qui en jettent un maximum et qui ressortent beaucoup mieux sur scène ! Il faut vraiment tout essayer pour savoir, faire des essayages sur les danseuses, les faire bouger avec, les faire danser avec pour pouvoir s’imaginer le rendu final. Il nous reste encore beaucoup de travail !
Quelles sont vos inspirations, et vos envies pour les costumes des Crazy Girls ?
J’ai essayé de raconter des histoires, notamment dans les nouveaux tableaux. Mais l’histoire que je me suis racontée moi, il faut que le chorégraphe l’adapte à sa manière. J’aime un des nouveaux tableaux où il y a une balançoire, qui est dans un esprit un peu Marie-Antoinette, et petit à petit Marie-Antoinette est devenue une rockeuse !
J’ai voulu apporter du glamour et du rock’n’roll. J’ai voulu apporter plus de fantaisie et plus d’impertinence. C’est un mot qu’on utilise beaucoup dans le monde de la lingerie. Mais je sais qu’il y en a déjà beaucoup au Crazy !
Pouvez-vous nous dire quel est votre tableau préféré du Crazy Horse ?
J’aime beaucoup le tableau Leçon d’érotisme, qui sera d’ailleurs retravaillé pour l’occasion (vous verrez !). J’aime le fait que la danseuse se déshabille. C’est d’ailleurs ce que j’ai essayé d’ajouter dans le show. Je trouve ça très érotique et sexy. Quand une danseuse arrive déjà toute nue sur scène, même si elle est évidemment superbe, on n’a pas cette petite dose de mystère. J’aime également le numéro Teasing, que je n’avais pas vu depuis longtemps sur la scène du Crazy Horse … et que vous allez donc retrouver dans Dessous Dessus !
Qu’est ce qui est « Crazy » et qu’est ce qui ne l’est pas pour vous ?
Pour moi ce qui est Crazy ce sont les lumières et les cambrures, vraiment propres au Crazy Horse. Ce qui n’est pas Crazy, c’est la vulgarité, ce qui est borderline et qui manque de chic. C’est tout l’inverse du Crazy.
Andrée Deissenberg, Directrice Générale Création & Développement du Crazy Horse, est la personne qui a eu l’idée de confier la direction artistique du Crazy Horse à Chantal Thomass, l’invitant à prendre la relève de grands noms de la mode et du spectacle comme Christian Louboutin, Philippe Decouflé ou encore récemment Dita Von Teese.
Chantal Thomass au Crazy … à quoi doit-on s’attendre ?
A des nouveaux numéros, bien sûr, mais aussi à un show habillé autrement, ludique et impertinent, à une autre façon de présenter la femme Crazy, à de nouveaux visuels et des surprises…
Pouvez-vous nous donner une petite information en avant-première sur Dessous Dessus ?
Nous avons retravaillé pour la première fois depuis 1989 notre célèbre tableau d’ouverture God Save Our Bareskin et avons réalisé ensuite que cela s’inscrit parfaitement dans l’actualité politique européenne…pensez Brexit (ou devrais-je dire « Br’excite Me» !) … mais je n’en dis pas trop, le reste sera à découvrir sur la scène du Crazy Horse à partir du 5 octobre !
Fauchon et le Crazy Horse, symboles de l’élégance et de l’impertinence à la parisienne, dévoilent une nouvelle pâtisserie 100 % gourmande & glamour.
Pour célébrer 65 ans de création et de folie, le Crazy Horse met à l’honneur la célèbre créatrice de lingerie parisienne Chantal Thomass et l’invite à prendre la direction artistique de son nouveau spectacle Dessous Dessus. A cette occasion, la maison française Fauchon, référence du luxe alimentaire et de l’épicerie fine, crée pour la première fois un éclair inspiré des courbes des danseuses du mythique cabaret.
Pour cette collaboration follement chic & parisienne, le Chef pâtissier de la maison, Patrick Pailler, allie le raffinement de Fauchon au glamour du Crazy Horse en proposant une recette inédite d’éclair. Surmonté d’une coque de chocolat blanc aux couleurs pop qui rappellent les jeux de lumières du Crazy Horse, cet éclair dissimule un crémeux à la vanille de Madagascar mêlé à une compotée framboise-gingembre reposant sur une ganache montée à la vanille de Madagascar et au gingembre.
Pour succomber au plaisir de l’éclair Crazy by FAUCHON, rendez-vous du 5 octobre au 31 décembre 2016 dans la boutique Fauchon, 24-26 Place de la Madeleine à Paris et sur le site web de Fauchon.
Cette douceur totalement renversante sera également à découvrir dans sa version « cocktail » au Crazy Horse, pendant toute la durée du show Dessous Dessus, dans certaines offres, dont Crazy Premium.
Fondée en 1886 à Paris par Auguste Fauchon, la Maison Fauchon atteint rapidement assurent une notoriété internationale, symbolisant le luxe à la française.
La pâtisserie est l’un des territoires de prédilection de la marque depuis 1895. Les chefs pâtissiers de la maison inventent de nouvelles expressions du dessert avec originalité et créativité.
Dans sa boutique emblématique du 26, place de la Madeleine, une adresse parisienne emblématique depuis plus de 130 ans, Fauchon offre un écrin aux plus grands classiques revisités, grands produits frais salés et sucrés. Les chefs et experts Fauchon y mêlent savoir-faire et inventivité, avec l’envie de rester créateur et de faire rêver.
Glamour, innovation, sensualité…
Maison de Création incontournable, aimée et prisée des célébrités et artistes du monde entier, le Crazy Horse a été fondé en 1951 par Alain Bernardin, au 12, avenue George V dans le 8ème arrondissement de Paris, à deux pas de la Tour Eiffel et des Champs Elysées.
Avec ses collaborations pointues et Guest Stars iconiques, de Philippe Decouflé à Christian Louboutin, de Beyoncé à David Lynch, de Dita Von Teese à Conchita Wurst, le plus glamour des cabarets parisiens et ses célèbres danseuses à la mythique cambrure, sont, tout comme Fauchon, des ambassadeurs du savoir-faire et du chic à la française dans le monde entier.
Deux fois par an, pour les collections printemps-été et automne-hiver, Paris vibre aux couleurs, paillettes et glamour du plus grand rendez-vous annuel de la mode, la Fashion Week .
Depuis toujours, le Crazy Horse et ses spectacles représentent une inspiration pour les créateurs, mannequins, photographes et célébrités. Suivez-nous dans les coulisses de cette relation privilégiée avec l’univers de la mode.
Temple de la sensualité et de la féminité, boudoir cosy empreint d’histoire et de glamour, écrin pour les plus belles femmes du monde, le Crazy Horse a de tous temps été le lieu privilégié d’une effervescence artistique dont seule Paris a le secret.
C’est donc tout naturellement que le milieu de la mode porte le Crazy Horse dans son cœur, et réciproquement : une relation d’amour qui tisse d’étroits liens depuis 1951.
Tout commence dans les années cinquante. Le Crazy Horse ouvre ses portes, ses voisins sont Yves Saint-Laurent, Hubert de Givenchy et Cristobal Balenciaga. Ce dernier, situé juste à côté du cabaret, craint que les décorations dans le plus pur esprit « saloon » installés à l’extérieur par Alain Bernardin, ne soient pas appréciées de ses clientes de la haute société. Il obtient alors du créateur du Crazy Horse de limiter ces installations… en échange de robes pour ses danseuses. La première collaboration du cabaret avec la haute couture est née !
Quelques années plus tard, Karl Lagerfeld dessine une parfaite petite robe noire à pois blancs pour un tableau inspiré de la célèbre scène de Marilyn Monroe et l’aération du métro dans « Sept Ans de Réflexion », tandis que dans les années soixante, Paco Rabanne choisit le Crazy Horse pour présenter son iconique robe en métal.
Très lié à Alain Bernardin, le fondateur du cabaret, Azzedine Alaïa confesse avoir « appris le corps des femmes au Crazy Horse », pour lequel il a créé dans les années 80 des sublimes robes de ville pour les danseuses.
Au début des années 2000, le « génie du cuir » Jean-Claude Jitrois dessine des tenues en cuir noir et argent pour les danseuses du cabaret.
Plus tard ce sont Mark Fast, brillant couturier canadien installé à Londres, ainsi que le très talentueux Hervé L. Leroux, créateur de la mythique robes à bandes sous le nom d’Hervé Leger, qui habillent les danseuses lors des évènements de gala.
A partir de 2006, les collaborations s’intensifient et se diversifient. Très inspirés par l’univers sophistiqué et ultra féminin du cabaret, les grands couturiers les plus emblématiques se succèdent pour créer des tenues inoubliables, empreintes de leur ADN, qui viennent souligner les courbes et les déliés parfaits des danseuses du Crazy et des artistes invitées.
Parmi ces célèbres collaborations, des couples mythiques se créent entre les créateurs et leurs muses : Thierry Mugler et Arielle Dombasle (2007) puis Pamela Anderson (2008), Elie Saab et Dita Von Teese (2006 et 2009), Roberto Cavalli et Clotilde Courau (2010), Hervé L. Leroux et Noémie Lenoir (2013), Jean Paul Gaultier et Conchita Wurst (2014), Alexis Mabille et Ralph & Russo et Dita Von Teese (2016)…
Les grands couturiers ne sont pas les seuls à vibrer pour le Crazy Horse : découvrez dans le prochain épisode comment les créateurs et les people en ont également fait leur source d’inspiration ou leur spot de prédilection pour faire la fête !
Pour mettre en valeur leurs cambrures affolantes, les danseuses sont juchées sur des escarpins, bottes et autres souliers d’exception. Depuis 2007, Christian Louboutin chausse les Crazy Girls de sa légendaire semelle rouge et de ses talons vertigineux : ses souliers mythiques symbolisent une féminité absolue, entièrement en phase avec l’essence même du Crazy Horse.
Directeur artistique du show Feu en 2012, il y crée des tableaux empreints de son univers, dont l’iconique et surprenant Voodoo, qui a été choisi pour figurer à nouveau sur scène dans le show actuel Totally Crazy.
Les courbes des danseuses du Crazy Horse, soulignées par de délicates lingeries, inspirent depuis toujours les corsetiers. Lingerie et corsets, armes de séduction fatale, sont ainsi créées sur mesure par Poupie Cadolle et Fifi Chachnil, créatrices emblématiques de lingerie, qui ont en commun la passion du corps, du raffinement et de l’excellence. Sans oublier la papesse de la lingerie chic, Chantal Thomass, première femme invitée à prendre la direction artistique du Crazy Horse le temps du show Dessous Dessus en 2016. Vous pourrez admirer ses sublimes parures dans les numéros Reines des Cœurs et Striptease-Moi, à l’affiche dans Totally Crazy.
Ces créations vous enchantent ?
Saviez-vous que le magnifique body des Reines des Cœurs, créé sur mesure pour les Crazy Girls par Chantal Thomass, est disponible en exclusivité à la boutique du Crazy Horse ?
Les photographes (de mode, mais pas seulement) trouvent au Crazy Horse la matière pour laisser libre cours à leur créativité : la célèbre Ellen Von Unwerth, y a shooté plusieurs fois et a notamment signé l’affiche du show Dessus Dessous par Chantal Thomass. Comment ne pas penser aussi à l’éclectique Ali Mahdavi et ses superbes images des divines Dita Von Teese, Arielle Dombasle, Clotilde Courau et Noémie Lenoir, qui ont donné lieu à des magnifiques affiches pour ces « guest stars » du cabaret ? Youssef Nabil a réalisé l’image du le poster du show Feu par Christian Louboutin, le duo Pierre et Gilles signe, quant à lui, l’affiche du spectacle avec Conchita Wurst drapée dans une magnifique tenue Jean Paul Gaultier. La photo a été ensuite exposée au Grand Palais en 2015, à l’occasion de l’exposition Jean Paul Gaultier. Les talentueux Antoine Poupel et Riccardo Tinelli réalisent régulièrement des shootings que ce soit pendant le show ou dans les loges des Crazy Girls.
Le talentueux photographe norvégien Sølve Sundsbø, qui collabore régulièrement avec des magazines comme i-D, Dazed and Confused, et Vogue et des marques comme Chanel, Yves Saint Laurent, Hermès et MAC, a shooté l’image officielle du spectacle actuellement sur scène, Totally Crazy.
Cara Delevingne, Karlie Kloss, Rosie Huntington-Whiteley… le monde de la mode est leur jardin quotidien, et ces mannequins sublimes choisissent le Crazy Horse pour faire la fête ! Mais ce ne sont pas uniquement les top models et égéries qui sont séduits par le glamour du Crazy Horse : chanteurs, artistes, acteurs et créateurs y viennent régulièrement. Rihanna, Scarlett Johansson, Kanye West, Jay Z et Beyoncé, Dita Von Teese, Jean Paul Gaultier, Lana Del Rey, Robin Thicke, sont tous « fous du Crazy ».
Le cabaret peut d’ailleurs se prêter aux besoins et envies de marques iconiques et de leurs créateurs. Pour n’en citer que quelques-uns : Balmain a choisi le Crazy Horse pour un after-show qui a marqué les esprits, tout comme le célèbre concept-store Colette, Roberto Cavalli ou Philipp Plein. Manish Arora, Fifi Chachnil, le créateur de Haute Coiffure Charlie Le Mindu et la jeune marque Jour/né ont tous organisé des défilés sur la scène mythique du Crazy Horse.
D’autres, comme Miu Miu par exemple, ont convié la troupe du Crazy Horse à se produire en dehors du cabaret, lors de soirées somptueuses avec plus de 800 invités triés sur le volet. Le bijoutier Chopard avait marqué les esprits en clôturant sa fête mythique à l’occasion du Festival de Cannes avec un show créé sur mesure par le Crazy Horse et intitulé « Crazy Diamonds ».
Créateurs, designers, griffes fabuleuses et célébrités participent au mythe du Crazy Horse …. alors, qui sait qui pourrait être assis dans ces iconiques fauteuils en velours à coté de vous, quand vous viendrez au show !
Patricia Folly, alias Psykko Tico, chorégraphe et danseuse du Crazy Horse, a défilé à l’occasion de la présentation Printemps-Eté 2011 de Jean-Paul Gaultier, le 26 janvier 2011, au siège de sa maison de couture.
Psykko Tico portait la robe de mariée "Can Can", créée pour l’occasion, pour clore magnifiquement ce défilé haute-couture : une robe blanche entièrement brodée volant avec imprimé "jambes" à l’intérieur
Le défilé s’est déroulé dans l’enthousiasme et devant un parterre de célébrités pour la danseuse du Crazy Horse Paris.
Jean-Paul Gaultier, incontournable icône de la mode, est un grand habitué du cabaret parisien situé au 12 avenue George V. Il se dit "fou du Crazy, toujours et à jamais…".
Grâce à un héritage artistique particulièrement riche, le Crazy Horse remporte une belle notoriété au sein des créateurs, artistes et designers.
Ce lieu de légende détient en effet un savoir-faire tout particulier : sublimer la femme à travers des créations inédites et surprenantes.
Pour offrir ou s’offrir un moment de volupté, mais pas seulement, Thé & Beauté by Ladurée a imaginé pour le célèbre cabaret parisien, le Crazy Horse, une collection gourmande follement glamour.
Ce sont tout d’abord les écrins, constellés de baisers vermillon, qui donnent le ton. La collaboration entre Ladurée et le Crazy Horse, deux maisons mythiques parisiennes, devait diffuser de la magie et de la beauté au premier regard.
Délicatement enchâssés dans leur écrin, les délicats macarons emblématiques de Ladurée s’offrent un design unique, spécialement pensé pour l’occasion, en s’ornant de l’iconique perruque au carré du Crazy Horse. Une sélection de 6 macarons irrésistibles, à déguster avec délicatesse lors d’un thé entre amies par exemple.
Le thé, justement…Il s’agit d’une merveille de thé noir, tendrement associée à une farandole de fruits rouges, proposé dans l’écrin chic et glamour orné de baisers. A la fois puissant et pétillant, léger et festif, ce divin breuvage fera succomber vos papilles pour un tea-time d’un raffinement extrême.
Afin de parfaire ce moment exquis, et pour habiller d’autres instants précieux, la bougie Crazy by Ladurée offre ses volutes subtilement poudrées dans le même écrin 100% Crazy. Elle promet une plongée délicate dans l’ambiance intimiste d’une loge de danseuse du Crazy Horse, une ode olfactive à la féminité…
La Bougie et le Thé vous attendent à la boutique à la boutique du Crazy Horse, 12 avenue George V, Paris 8ème.
Le Crazy Horse et le Purgatoire-54 Paradis, espace événementiel dédié à l’art contemporain et aux arts culinaires, ont eu le plaisir de présenter du 2 au 11 avril 2014 : « Fabuleux Crazy Horse : qui es-tu derrière ces lumières ? ».
Une exposition photographique inédite dédiée à la féminité et au glamour, née de l’union artistique entre Riccardo Tinelli et le Crazy Horse.
Après une première collaboration avec le célèbre cabaret parisien, Riccardo Tinelli est resté sous le charme de ce monument des nuits parisiennes, fasciné par l’atmosphère et l’ambiance qui y règnent. Désireux d’en percer les mystères, Riccardo a prolongé son immersion pour découvrir les coulisses du Crazy Horse et nous en livrer sa vision d’artiste.
Véritable appel au glamour, le spectacle du Crazy Horse éveille notre désir et suscite notre imaginaire. L’ambition première de Riccardo Tinelli était de capturer des instants uniques et privilégiés afin de montrer les danseuses telles qu’elles sont.
Leur sensualité naturelle et spontanée cache la complexité et la rigueur qu’exige la danse professionnelle. Guidées par l’œil complice du photographe, elles se sont alors prises au jeu des clichés pour révéler des moments d’intimité rare.
Derrière les lumières, les filles du Crazy Horse dévoilent un univers fantasque et mythique. Des corps étincelants aux postures audacieuses. Des costumes précieux et élégants. Des regards mystérieux aux sourires malicieux. Des femmes espiègles et séduisantes…
A travers ses photographies, Riccardo Tinelli raconte la personnalité fascinante des danseuses qui s’abandonnent à leur passion : la danse. Bien plus qu’une passion, c’est une obsession omniprésente, un vecteur de créativité et une source de communication.
L’exposition permet au spectateur de découvrir « derrière les lumières » l’âme du célèbre cabaret parisien.
Né à Trévise, en Italie, Riccardo Tinelli est photographe de mode professionnel. C’est à l’âge de 17 ans que Riccardo achète son premier appareil photo. Depuis, il ne cesse de photographier et trouve son inspiration dans la vie de tous les jours.
Il reproduit un monde dynamique, aux formes suaves et colorées et aux paysages exotiques. Il partage sa vie entre New-York et le Xe arrondissement de Paris.
Le Crazy Horse – également communément nommé Le Crazy – fut fondé à Paris en 1951 par Alain Bernardin, artiste avant-gardiste et insatiable admirateur des femmes. Egalement fasciné par les Etats-Unis, une idée fixe l’obsède : placer la création et la femme au centre de son cabaret.
Au fil des ans, Alain Bernardin développe une véritable signature artistique, alliant danseuses classiques aux corps parfaits et cambrés – habillées principalement de projections – aux influences musicales et vestimentaires du moment. Chacun des numéros est conçu comme un tableau impertinent et moderne, pensé autour d’une chorégraphie, d’un décor et de projections.
Cette « griffe » Crazy est rapidement reconnue tant par les artistes et concepteurs du monde entier, que par un public français et international composé également d’hommes et de femmes.
Le Crazy a toujours inspiré les plus grands artistes grâce à sa réputation et à son savoir-faire pour sublimer la femme. Son riche patrimoine artistique a contribué à sa notoriété chez les designers, artistes et créateurs. Récemment les collaborations furent nombreuses : Christian Louboutin, Swizz Beatz, Beyoncé, David Lynch, Bob Sinclar, Roberto Cavalli, Ellen von Unwerth, Paco Rabanne, Karl Lagerfeld, Emmanuel Ungaro, César, Kylie Minogue, Azzedine Alaia, Christina Aguilera, Philippe Decouflé, Ali Mahdavi, etc.
Plus de 60 ans après sa création, le Crazy Horse continue de se réinventer sur le thème inépuisable de la femme et du féminin. Le groupe diversifie ses activités à l’international et exporte sa marque et son savoir-faire uniques à l’étranger.
Découvrir Aussi
Combiner un excellent dîner et un spectacle d’exception en une seule soirée, c’est possible ! Choisissez l’une des offres de dîner-spectacle du Crazy Horse avec nos trois restaurants partenaires et faites-vous plaisir.
On ne présente plus « Chez Francis », l’une des brasseries les plus renommées de Paris, qui saura vous accueillir avec style avant ou après votre spectacle au Crazy Horse. Appréciez la finesse de votre menu et le raffinement de la décoration du restaurant lors de votre dîner – et vous ne vous lasserez pas non plus de la superbe vue sur la Tour Eiffel qui est l’un des atouts de cette adresse incontournable.
Un dîner-spectacle placé sous le signe de l’émerveillement et de la féminité …de la Dame de Fer aux danseuses du Crazy Horse !
Il y avait ses habitudes et appréciait sa carte : chez André, au 12, rue Marbeuf, était le restaurant-brasserie préféré d’Alain Bernardin, le fondateur du Crazy Horse. En pénétrant dans ces lieux chargés d’histoire, vous en comprendrez vite la raison. Chez André, la cuisine est tout simplement raffinée sans ostentation, d’une fraîcheur parfaite.
Entre le bar et le tartare, votre cœur va balancer…avant de succomber définitivement aux charmes des danseuses du Crazy !
Toujours rue Marbeuf, à quelques minutes du Crazy Horse, vous vous laisserez sans doute tenter par la décoration incroyable de la Fermette Marbeuf : un cadre idéal pour un dîner en amoureux à Paris.
Classé monument historique, le restaurant est une ode à l’Art Nouveau, que vous pourrez contempler en dégustant votre menu, qui cristallise l’excellence de la cuisine bourgeoise française. Après (ou avant) votre escapade gastronomique, vous contemplerez les tableaux précis et stylisés de votre spectacle au Crazy Horse.
Passer une soirée au Crazy Horse, c’est venir célébrer la beauté et le glamour. Mais nous sommes à Paris, et la capitale regorge de merveilles à contempler, n’est-ce pas ? Le Crazy Horse a imaginé pour vous deux formules de dîner-spectacle qui marient plaisir des papilles et des yeux. Découvrez-les.
C’est assurément la soirée la plus romantique parmi les offres de dîner-spectacle du Crazy Horse. Découvrir Paris « par sa plus belle avenue », la Seine, est un privilège que vous n’oublierez pas de sitôt. Tandis que votre bateau glisse avec grâce sur les flots, vous pourrez notamment admirer le musée du Louvre, l’Hôtel de Ville, Notre-Dame, le musée d’Orsay, l’Assemblée Nationale, la Tour Eiffel. Eblouis par la majesté de ces monuments, vous serez également conquis par la délicatesse des mets servis pour votre dîner.
L’embarquement pour ce dîner-spectacle s’effectue quai de l’Alma, à quelques minutes à pied du Crazy Horse. C’est aussi là que vous débarquerez, pour vous rendre ensuite à votre deuxième expérience beauté de la soirée : le show du Crazy Horse.
Parcourir Paris dans un bus à impériale, avec une vue à 360°, tout en dégustant des mets raffinés, puis assister au show du Crazy Horse, cela vous tente ? Le Bustronome vous fait découvrir la capitale en empruntant ses rues et avenues les plus emblématiques. Au départ de l’Arc de Triomphe, votre voyage au cœur de Paris vous emmènera des Champs-Elysées à Madeleine, de Notre-Dame au Pont des Arts, des Invalides à la Tour Eiffel. Installés en hauteur, votre vue est dégagée : le toit panoramique vitré du Bustronome ne laisse rien s’immiscer entre les beautés de Paris et vos yeux.
Habitacle sur mesure, bois noble, papier peint dans l’escalier, banquettes capitonnées, mobilier de table astucieusement pensé pour que rien ne bouge pendant votre soirée : le Bustronome offre une ambiance cosy et intimiste. Tout au long du trajet, mené avec douceur à 15 km/h, vous savourerez des mets raffinés en découvrant les monuments parisiens grâce à des audioguides individuels et une carte interactive. Le Bustronome s’arrête ensuite à 22h devant la tour Eiffel scintillante, puis vous dépose devant le Crazy Horse à 22h20 pour assister au spectacle du cabaret et de ses divines Crazy Girls.
Prolonger ou précéder la magie du spectacle avec un moment gastronomique, c’est possible avec le Crazy Horse ! Nouveauté cette année dans nos formules dîner + spectacle, la mythique maison Ladurée ne vous laissera pas de glace.
Située sur la plus belle avenue du monde, la maison Ladurée est sans conteste un des fleurons des Champs-Elysées. Entrer dans ce salon de thé à la renommée internationale, c’est faire un voyage gourmand et raffiné dans le temps. Créé en 1862, ce lieu sublime aux boiseries et fresques centenaires accueille les gourmets du monde entier autour de ses iconiques macarons.
Bien entendu, on y vient donc pour ces délicieuses spécialités que Ladurée a hissées au rang d’un véritable art. La délicatesse des macarons Ladurée, la finesse et la diversité de leurs parfums sont incomparables et règnent dans le cœur des gourmets. Mais la maison a su également décliner le raffinement de ses gourmandises signature dans son restaurant, avec des propositions salées et sucrées aussi simples que délicates.
Pour ses formules dîner + spectacle, le Crazy Horse sélectionne avec soin ses établissements partenaires. Étoilés, brasseries de caractère, Bateaux-Mouches ou Bustronome, chaque restaurant, outre la qualité de ses propositions gourmandes, a un « quelque chose en plus » qui les rend aussi originaux qu’irrésistibles.
Avec la maison Ladurée, le cabaret est fier de perpétrer cette tradition, en conviant un établissement mythique à associer son nom à celui du Crazy Horse.
C’est avec joie et fierté que le Crazy Horse a accepté l’invitation de Jean de Loisy, directeur artistique de Nuit Blanche et Président du Palais de Tokyo, à participer à l’édition 2016 de Nuit Blanche, qui proposait un parcours sur le thème du franchissement, articulé autour de la Seine et de ses ponts.
Depuis 2002, la ville de Paris organise chaque année Nuit Blanche le premier samedi d’octobre. L’édition 2016 s'est tenu dans la nuit du samedi 1er octobre de 19h jusqu’au petit matin. Il s’agit de proposer un grand événement, populaire et festif, centré sur l’installation d’œuvres d’art dans l’espace public ou dans des bâtiments parisiens emblématiques.
Cette année-là, Nuit Blanche 2016 était l’occasion de découvrir la ville autrement avec un parcours pensé comme une cartographie symbolique qui conviait le visiteur à vivre une quête amoureuse, le long de la Seine, de l’Hôtel de Ville à l’Île aux Cygnes et jusqu’au Paris de demain avec la Société du Grand Paris. Nuit Blanche 2016 avait pour fil rouge Poliphile, héros d’un roman illustré italien de 1467, qui parcourt les vestiges antiques de la Trévise du Quattrocento à la recherche de sa bien-aimée Polia. Comme lui, le visiteur était invité à déambuler dans la ville en traversant différentes épreuves de transformation de soi.
Dans les jardins du Petit Palais, une rencontre envoûtante apaise Poliphile. Comme à de nombreuses reprises dans le roman, les nymphes viennent en aide à notre héros éprouvé pour le guider et l’émerveiller. En signe de rupture avec le monde réel, un flash de lumière blanche éblouit les visiteurs qui pénètrent dans l’enceinte du jardin. C’est un monde féerique qu’ils découvrent alors dans ce somptueux décor 1900. Dissimulées derrière les colonnes du péristyle, les nymphes du Crazy Horse semblent s’être réfugiées en ce lieu enchanteur. Au milieu du bassin central, elles font onduler leurs robes vaporeuses et chuchotent doucement à l’oreille des visiteurs.
Cabaret incontournable des nuits parisiennes, le Crazy Horse fêtait en 2016 65 ans de création et de chic parisien. La Maison mythique est réputée pour ses danseuses aux noms chimériques, vêtues de lumière et de mystère. Sur scène, les Crazy Girls, sensuelles, espiègles et évocatrices de la légende, composent les étoiles du ciel de la nuit parisienne.
Le Crazy Horse a toujours inspiré les plus grands artistes grâce à sa réputation et à son savoir-faire unique pour sublimer la femme. Depuis 2006, en accueillant des égéries et des créateurs venus du monde de la danse et de la mode, le cabaret renouvelle en permanence sa vision de la sensualité et de la féminité.
Du 5 octobre au 31 décembre 2016, c’est la célèbre créatrice de lingerie parisienne Chantal Thomass qui prenait les rênes de la direction artistique du cabaret. Accompagnée des équipes du Crazy Horse et du chorégraphe Stéphane Jarny, elle a ainsi créé plusieurs tableaux exclusifs et retravaillé des numéros iconiques du Crazy Horse, pour un show follement glamour intitulé Dessous Dessus.