Tina Tobago est danseuse au Crazy Horse… et infirmière de bloc opératoire. Rencontre avec une femme dont l’énergie et le charisme sont autant de forces pour une double vie totalement assumée.
Comment et pourquoi avez-vous intégré la prestigieuse troupe des Crazy Girls ?
C’est à la fois un rêve et le fruit du hasard. J’avais douze ou treize ans quand je suis tombée sur une vidéo du Crazy Horse à la télévision, diffusée pour Noël. J’ai tout de suite été fascinée par la manière dont les danseuses bougeaient, ce qu’elles dégageaient… A cet âge-là, j’étais très sportive, 15 heures par semaine de gymnastique rythmique et je faisais tout comme les garçons ! Ma féminité était plutôt à l’intérieur de moi, et j’ai su, en voyant cette vidéo, qu’un jour je voudrai devenir une femme comme celles du Crazy Horse.
A 21 ans, j’ai partagé ce rêve avec mon compagnon, mais je n’y croyais pas. Pour moi, être une Crazy Girls était inaccessible, car j’étais gymnaste et elles étaient plutôt issues d’écoles de danse, de spectacle. Il a tout de même envoyé ma candidature, pour laquelle il n’y avait pas eu de suite, j’étais déçue mais pas surprise. Quelques années plus tard, j’ai retenté ma chance, et là j’ai pu passer une audition. Entre temps, je m’y étais préparée, j’ai beaucoup dansé… et j’ai intégré la troupe des Crazy Girls en avril 2017 !
Infirmière et Crazy Girl, comment gérez-vous votre double vie ?
Je suis infirmière de bloc opératoire, ce qui me permet de m’organiser assez facilement. J’ai notamment mes week-ends et je fais des gardes trois fois par semaine, avec quatre jours de libre d’affilée. Au début j’étais vacataire, donc c’était facile de prendre des missions ou pas, mais maintenant je suis en CDI donc il faut jongler davantage.
Mener ces deux vies de front est possible car j’aime être en mouvement : au bloc, c’est mon cerveau qui est sollicité, et au Crazy Horse c’est mon corps qui bouge et qui s’exprime. C’est très complémentaire et cela me va parfaitement.
Quel est votre tableau préféré et pourquoi ?
J’adore Jungle Fever et Lay Laser Lay. Le second était celui que j’avais vu dans la vidéo de Noël quand j’avais treize ans, et c’était aussi mon premier solo sur la scène du Crazy Horse. Je les aime pour leur côté un peu « sauvage », mais aussi pour leur sensualité. En réalité, je m’imagine peu incarner une femme pétillante et souriante, j’ai besoin d’énergie un peu sombre pour m’exprimer dans la danse, et dans ces tableaux je peux l’utiliser. La sensibilité et la fragilité qui se dégagent du tableau But I’m a good girl me séduisent énormément mais ce n’est pas forcément une évidence pour moi de les interpréter.
Qu’est ce qui qualifie selon vous la Crazy Girl ?
Devenir une Crazy Girl prend du temps, et on ne sait pas au départ quelle Crazy Girl on va devenir. D’ailleurs cette incarnation n’est pas figée, elle évolue avec les années. Je dirais qu’une Crazy Girl, pour moi, c’est une femme assurée et assumée, sensible et sensuelle. Elle se connaît suffisamment bien pour exprimer sa féminité, en jouer, dégager de l’émotion et la partager.
J’ai deux modèles de femmes dans ma vie qui m’ont inspirée. Ma mère donnait des cours de danse, et ma grand-mère était cadre infirmier. Aujourd’hui, je suis fière de les incarner toutes les deux dans ma double vie de Crazy Girl et d’infirmière !
Patricia Folly, alias Psykko Tico, chorégraphe et danseuse du Crazy Horse, a défilé à l’occasion de la présentation Printemps-Eté 2011 de Jean-Paul Gaultier, le 26 janvier 2011, au siège de sa maison de couture.
Psykko Tico portait la robe de mariée "Can Can", créée pour l’occasion, pour clore magnifiquement ce défilé haute-couture : une robe blanche entièrement brodée volant avec imprimé "jambes" à l’intérieur
Le défilé s’est déroulé dans l’enthousiasme et devant un parterre de célébrités pour la danseuse du Crazy Horse Paris.
Jean-Paul Gaultier, incontournable icône de la mode, est un grand habitué du cabaret parisien situé au 12 avenue George V. Il se dit "fou du Crazy, toujours et à jamais…".
Grâce à un héritage artistique particulièrement riche, le Crazy Horse remporte une belle notoriété au sein des créateurs, artistes et designers.
Ce lieu de légende détient en effet un savoir-faire tout particulier : sublimer la femme à travers des créations inédites et surprenantes.
Le Crazy Horse et le Purgatoire-54 Paradis, espace événementiel dédié à l’art contemporain et aux arts culinaires, ont eu le plaisir de présenter du 2 au 11 avril 2014 : « Fabuleux Crazy Horse : qui es-tu derrière ces lumières ? ».
Une exposition photographique inédite dédiée à la féminité et au glamour, née de l’union artistique entre Riccardo Tinelli et le Crazy Horse.
Après une première collaboration avec le célèbre cabaret parisien, Riccardo Tinelli est resté sous le charme de ce monument des nuits parisiennes, fasciné par l’atmosphère et l’ambiance qui y règnent. Désireux d’en percer les mystères, Riccardo a prolongé son immersion pour découvrir les coulisses du Crazy Horse et nous en livrer sa vision d’artiste.
Véritable appel au glamour, le spectacle du Crazy Horse éveille notre désir et suscite notre imaginaire. L’ambition première de Riccardo Tinelli était de capturer des instants uniques et privilégiés afin de montrer les danseuses telles qu’elles sont.
Leur sensualité naturelle et spontanée cache la complexité et la rigueur qu’exige la danse professionnelle. Guidées par l’œil complice du photographe, elles se sont alors prises au jeu des clichés pour révéler des moments d’intimité rare.
Derrière les lumières, les filles du Crazy Horse dévoilent un univers fantasque et mythique. Des corps étincelants aux postures audacieuses. Des costumes précieux et élégants. Des regards mystérieux aux sourires malicieux. Des femmes espiègles et séduisantes…
A travers ses photographies, Riccardo Tinelli raconte la personnalité fascinante des danseuses qui s’abandonnent à leur passion : la danse. Bien plus qu’une passion, c’est une obsession omniprésente, un vecteur de créativité et une source de communication.
L’exposition permet au spectateur de découvrir « derrière les lumières » l’âme du célèbre cabaret parisien.
Né à Trévise, en Italie, Riccardo Tinelli est photographe de mode professionnel. C’est à l’âge de 17 ans que Riccardo achète son premier appareil photo. Depuis, il ne cesse de photographier et trouve son inspiration dans la vie de tous les jours.
Il reproduit un monde dynamique, aux formes suaves et colorées et aux paysages exotiques. Il partage sa vie entre New-York et le Xe arrondissement de Paris.
Le Crazy Horse – également communément nommé Le Crazy – fut fondé à Paris en 1951 par Alain Bernardin, artiste avant-gardiste et insatiable admirateur des femmes. Egalement fasciné par les Etats-Unis, une idée fixe l’obsède : placer la création et la femme au centre de son cabaret.
Au fil des ans, Alain Bernardin développe une véritable signature artistique, alliant danseuses classiques aux corps parfaits et cambrés – habillées principalement de projections – aux influences musicales et vestimentaires du moment. Chacun des numéros est conçu comme un tableau impertinent et moderne, pensé autour d’une chorégraphie, d’un décor et de projections.
Cette « griffe » Crazy est rapidement reconnue tant par les artistes et concepteurs du monde entier, que par un public français et international composé également d’hommes et de femmes.
Le Crazy a toujours inspiré les plus grands artistes grâce à sa réputation et à son savoir-faire pour sublimer la femme. Son riche patrimoine artistique a contribué à sa notoriété chez les designers, artistes et créateurs. Récemment les collaborations furent nombreuses : Christian Louboutin, Swizz Beatz, Beyoncé, David Lynch, Bob Sinclar, Roberto Cavalli, Ellen von Unwerth, Paco Rabanne, Karl Lagerfeld, Emmanuel Ungaro, César, Kylie Minogue, Azzedine Alaia, Christina Aguilera, Philippe Decouflé, Ali Mahdavi, etc.
Plus de 60 ans après sa création, le Crazy Horse continue de se réinventer sur le thème inépuisable de la femme et du féminin. Le groupe diversifie ses activités à l’international et exporte sa marque et son savoir-faire uniques à l’étranger.
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Elles ont la pétillance et le glamour comme bagage, un corps empreint de tonus et de grâce, et elles rêvaient de rejoindre le Crazy : c'est aujourd'hui chose faite, réservez-leur un accueil chaleureux!
Incarner le glamour et la sensualité, la femme dans son essence la plus pure, c’est un subtil équilibre entre l’inné et… beaucoup de travail. Superbes, les danseuses le sont, assurément. Mais désormais, elles doivent apprendre à devenir cette quintessence de la féminité qui représente et fait l’identité d’une Crazy Girl.
En répétant par exemple « U turn me on », final emblématique du Crazy repris dans « Totally Crazy », les nouvelles Crazy Girls découvrent toute la technicité et l’intensité du travail demandées par Svetlana Kostantinova, la directrice de scène. Si la danse est une ode à la féminité, le jeu de regard est également au cœur de ce qui rend les danseuses du Crazy uniques.
Courbes, mouvements, œillades, rien n’est laissé au hasard pour transcender la femme dans ses émotions et sa personnalité.
Le déhanché et la cambrure : les signatures du Crazy Horse
Après les répétitions individuelles, c’est désormais le moment pour les nouvelles recrues de travailler avec les autres danseuses : cette fois ce n’est pas seulement la chorégraphie qui est travaillée, mais la vision d’équipe et la gestion des jeux de lumière.
C’est le déhanché si emblématique du cabaret parisien que les jeunes femmes s’approprient sur le tableau « Vestal’s Desire » : une technique complexe, un travail des hanches spécifique, des mouvements dissociés… sans oublier l’alignement au millimètre avec les lumières.
Etre danseuse au Crazy Horse, c’est être femme jusqu’au bout des cils. Si le déhanché et l’allure sont le domaine de Svetlana, c’est la danseuse capitaine Mika Do qui accompagne les nouvelles recrues dans leur premier maquillage Crazy. Objectif : un visage de poupée, un regard intense, une personnalité bien affirmée.
Entre les mains expertes de Mika Do, pinceaux, faux-cils, fards et blushs sont des instruments magiques qui subliment la beauté des deux filles et les transforment en Crazy Girls, l’oeil de biche, la bouche rouge. Et les voilà prêtes à envouter le public !
C’est la tradition au Crazy : le baptême du nom de scène des danseuses s’effectue le soir de leur première apparition publique. Un moment chargé d’émotion, et partagé avec les autres danseuses, qui marque véritablement l’entrée des deux recrues dans la maison.
La première, tant attendue, a enfin lieu le même soir pour les deux jeunes femmes : entre stress et euphorie, elles découvrent la scène, le costume, le public… le rêve glamour qui devient réalité.
Le célèbre cabaret du Crazy Horse Paris a intégré de nouvelles danseuses dans sa troupe légendaire des Crazy Girls, à la suite des deux sessions de casting.
Afin de respecter la tradition et l’héritage des shows présentés sur la scène de la mythique salle parisienne fondée en 1951, le cabaret parisien demande à ses nouvelles recrues de répondre aux critères physiques établis et mis en place par le fondateur du Crazy Horse Paris, l’artiste, amoureux fou de la féminité, Alain Bernardin.
Aujourd'hui, cela n’est rien comparé à l’importance d’avoir ce petit "je ne sais quoi", ce grain de folie et d'originalité, comme aimait le dire Alain Bernardin.
Pour postuler à l’une de ces deux auditions, les danseuses devaient être âgées de 18 ans au minimum. Par ailleurs, une formation en danse classique est impérative pour intégrer la troupe des magnifiques Crazy Girls.
Le Crazy Horse est particulièrement sensible aux candidates présentant un talent d’actrice, qui fera toute la différence lors de la représentation de ses shows sur sa scène légendaire. Le casting se déroule topless, avec une paire de chaussures à talons hauts apportée par chaque postulante.
Les heureuses élues suivent ensuite une formation de 3 à 5 mois pour devenir de véritables Crazy Girls, qui envoûteront le public de l’iconique cabaret parisien et des plus grandes scènes internationales.
En 2017, la troupe de « Forever Crazy » était en tournée en Australie et en Asie. Entre deux spectacles, trois Crazy Girls laissent libre cours à leur seconde passion : le surf…
Des vagues, du plaisir et de la discipline.
Plus qu’un hobby, la glisse est une véritable passion pour certaines danseuses de la troupe et en particulier les volcaniques Zitta Zurbaghan, Margaux La Chapelle et Bamby Splish Splash.
Ces trois jeunes femmes, bien dans leur peau et dans leur époque, dévoilent le soir sur scène leurs corps sublimes et leur radieuse féminité en interprétant les tableaux mythiques du show « Forever Crazy ». En journée, c’est avec un plaisir à chaque fois renouvelé qu’elles s’élancent dans l’océan à la recherche de la vague parfaite, celle qui les fera vibrer.
Le surf ne s’improvise pas : ce sport tonique demande discipline, adresse, et condition physique au summum. Ce qui n’est pas un souci pour nos naïades, qui, comme toutes les danseuses de la troupe, répètent chaque jour pour le spectacle. Elles apportent ainsi un supplément de grâce et de féminité dans leur pratique des sports de glisse.
Blondeur californienne et bouche pulpeuse, Margaux La Chapelle est une vraie passionnée toujours à la recherche d’un nouveau défi ou d’une nouvelle aventure. Sa plus grande passion ? Le Crazy bien sûr !
En quoi le surf fait partie intégrante de ta vie de Crazy Girl ?
J’ai découvert le surf il y a 7 ans et ça a changé ma vie. Depuis que je fais partie de la troupe, j’ai vraiment pu pratiquer,. En effet j’ai eu la chance de partir en tournée avec le spectacle « Forever Crazy » et de pouvoir surfer en même temps en tant de pays différents et spots incroyables !
Quelles sont les sensations que tu recherches dans ta pratique du surf ?
Tout d’abord j’aime tout ce qui entoure le Surf, la philosophie de vie, le rythme de vie. Découvrir des spots magnifiques, être dans l’eau, ne plus penser à rien… Juste « rider », se vider la tête.
J’aime l’aventure que cela apporte, le challenge et l’énergie.
Quand je sors d’une session, je me sens vidée de toute mauvaise énergie, apaisée, vivifiée, motivée pour le reste de la journée. J’aime cette sensation de bien-être, je me sens bien dans mon corps mais aussi dans mon esprit je me sens fière. Fière d’être rentrée dans l’eau, même très tôt le matin, quand il fait froid dehors et dedans, avec de la pluie, après une longue marche pour accéder au spot, avant une répétition ou un spectacle. Fière d’avoir osé et de ne pas avoir eu peur, malgré l’appréhension qui est toujours là.
Zitta Zurbaghan, est une artiste talentueuse (elle est aussi trapéziste !) et une jeune femme au sourire renversant avec une crinière patinée par le soleil et les embruns qui descend jusqu’à sa taille parfaite. Féline sur la scène du Crazy Horse dans un solo comme « Chain Gang », elle est aussi à l’aise entre les vagues.
Quel est ton meilleur souvenir d’une session de surf ?
Mon meilleur souvenir reste le jour où nous sommes parties à l’aventure surfer sur l’île de Taïwan à Waiao Beach. Une plage magnifique de sable noir, un temps assez orageux, il y avait une ambiance magique !
Nous avons rencontré un photographe de surf sur la plage, il venait assez régulièrement prendre des superbes photos de nous. Le dernier jour avant notre départ il a absolument tenu à nous inviter chez lui pour prendre le thé et nous présenter sa famille. C’était magique de pouvoir vivre ce moment-là dans une famille locale.
Quel est ton spot préféré ?
L’Australie est de loin l’un des meilleurs spot pour surfer, le paysage est dingue !
Nous y sommes actuellement pendant la période d’hiver ce qui fait que l’eau est froide mais l’atmosphère est sublime.
En quoi le surf fait partie intégrante de ta vie de Crazy Girl ?
Le surf fait partie intégrante de ma vie de Crazy Girl car il y a cette folie, cette prise de risque qui est totalement « CRAZY ».
Mutine, Bamby Splish Splash illumine la scène de son regard pétillant et de son sourire éclatant. La benjamine de la troupe a trouvé au Crazy Horse pas seulement une vocation, mais aussi les amies d’une vie.
Surfeuse et Crazy Girl, c’est possible ?
Le surf est devenu partie intégrante de notre vie de Crazy Girls… Grâce à nos voyages, c’est une activité presque quotidienne. Le surf rythme notre vie de tournée presque autant que la scène.
Le surf le jour et le Crazy Horse la nuit, c’est presque une double vie, vous ne trouvez pas ?
Qu’est-ce que cela t’apporte ?
Je suis sans arrêt en quête de bien-être : Méditer, être au contact de la nature sont mes principales sources d’équilibre.
Le surf me permet ce temps privilégié pour recharger mes batteries. Et puis n’oublions pas que c’est un sport exigeant ! Alors double raison de s’y mettre ! Même pour les plus coquettes d’entre nous !
Ton meilleur souvenir?
La première fois où j’ai pu me lever et prendre ma première vague. La découverte de cette sensation est encore encrée dans mon corps. Et le souvenir d’avoir vu le fond de l’eau du haut de ma planche à ce moment. Inoubliable.
Soleil, plage, farniente : le cocktail idéal pour des vacances où la détente est reine. Les troublantes Mika Do et Tina Tobago vous invitent à découvrir leurs rituels et leurs astuces beauté pour rester sublimes cheveux au vent sous les alizés !
Comment préparez-vous votre peau et votre corps pour l’été ?
Tina : Je fais régulièrement des masques pour le visage et des gommages. Bien sûr, je fréquente la salle de sport avec un programme adapté à ce que je souhaite : en ce moment, c’est abdos fessiers et gainage.
Mika : L’hydratation de la peau est essentielle : adepte des produits naturels, je passe moi aussi par le rituel du gommage !
Côté alimentation, que privilégiez-vous ?
Tina : Je privilégie les fruits, en smoothies surtout, fait maison c’est encore mieux. Sinon j’adore les légumes crus cuits ou grillés, je ne suis pas très viande, encore moins en été.
Mika : Fruits crudités, légumes : je recherche la fraîcheur. Je me compose de belles salades où je peux me faire plaisir et que je peux varier tous les jours… J’ai aussi opté pour une banane quotidienne, idéale pour les sportifs car elle aide à éviter crampes et courbatures.
Quels sports pratiquer en été pour un corps tonique ?
Tina : J’alterne la natation, le footing et le crossfit pour travailler toutes les parties de mon corps tout en y prenant du plaisir !
Mika : Marcher tous les jours pour entretenir mon corps et mon cœur, quelques minutes quotidiennes de gainage pour rester tonique, des abdos fessiers pour cultiver ma cambrure : voilà ma routine, été comme hiver !
De quelle manière prenez-vous soin de vos cheveux à la plage, au soleil ?
Tina : A la plage, mes cheveux sont généralement attachés. Je les protège avec des huiles d’amande ou de coco, et je me fais des masques hydratants régulièrement.
Mika : Pour mes cheveux, je ne jure que par l’huile de ricin en masque que je laisse agir plusieurs heures, une fois par semaine.
Comment gérez-vous votre hâle, sous le soleil et après les vacances ?
Tina : J’ai la chance d’être bronzée toute l’année, en revanche je me protège beaucoup du soleil : j’ai une peau fragile qui bronze en 10 minutes. J’utilise donc une crème solaire avec un indice de protection maximum, plus un chapeau et pas trop de plein soleil.
Mika : J’ai une peau très claire donc je me protège un maximum. Pour entretenir mon bronzage, je prends des capsules d’une marque de parapharmacie bien connue.
Quel maquillage adopter pour l’été ?
Tina : Quelque chose de léger : juste une DD crème pour sublimer le teint. Sans oublier l’indispensable trait d’eyeliner pour intensifier le regard !
Mika : J’applique une bonne terracotta pour un teint parfait et rayonnant. Et un peu de mascara, pour un regard félin. Rien de plus.
Quel rituel avez-vous mis en place, quel est votre petit secret ?
Tina : J’utilise le bicarbonate de soude comme exfoliant ou mélangé à du citron et de l’eau pour déloger les points noirs rebelles.
Mika : Je prends une douche très très très froide pendant 3 ou 4 minutes tous les matins. Ses vertus ? Une peau lisse, tonique et un moral d’acier !
Comment faites-vous pour prolonger les bienfaits de l’été une fois la rentrée arrivée ?
Tina : Ma couleur de peau reflète les îles… Après l’été, j’adapte son hydratation suivant la période de l’année et bien sûr j’effectue des gommages réguliers.
Mika : Une fois la rentrée arrivée, mon secret est de maintenir la cadence, de continuer les petits rituels de l’été, de manger équilibré toute l’année (sans oublier de se faire plaisir en s’autorisant quelques gourmandises !). Pour moi, le plus important est d’écouter son corps et ses envies, tout en restant raisonnable. La clé est là : un esprit sain et serein dans un corps sain et….. serein ;-).
Il ne vous reste donc plus qu’à adopter ces sages conseils pour un été placé sous le signe du glamour et de la beauté.
L’expression artistique, sous toutes ses formes, est le délicat fil conducteur de la vie de notre pétillante Bamby Splish Splash. Nous vous la présentons.
Comment et pourquoi avez-vous intégré la prestigieuse troupe des Crazy Girls ?
D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours voulu être une artiste ! Je crois d’ailleurs que je le savais dès ma naissance. C’est plus qu’une envie, une véritable vocation. Le Crazy Horse m’attirait énormément car il est un lieu privilégié d’expression artistique. Très différent des autres cabarets, le Crazy Horse a une signature unique : original et atypique, il met vraiment l’artiste en valeur.
Pour devenir Crazy Girl, il m’a fallu un peu de temps. Je m’étais promis qu’à mes 18 ans je tenterai ma chance mais j’avais très peur de ne pas être choisie. En effet, comme je ne suis pas issue d’une formation classique dans le monde du spectacle, je ne pensais pas avoir le bagage nécessaire, même si j’ai toujours fait du théâtre et de la danse.
Finalement, à 19 ans, le 1er janvier 2015, j’ai envoyé ma candidature en me disant « qui ne tente rien n’a rien ». Un joli hasard a fait que le lendemain était organisée une audition dans ma ville natale, j’ai pris cela comme un signe du destin, j’y suis allée…et j’ai été retenue ! J’ai commencé par une tournée à Séoul, ce qui est assez atypique pour des débuts, avant de fouler pour la première fois la mythique scène parisienne du Crazy Horse près d’un an plus tard.
Que faites-vous lorsque vous n’êtes pas sur scène ?
J’ai eu le privilège de pouvoir créer une série de pins pour le Crazy Horse : la perruque iconique des Crazy Girls y est déclinée en huit couleurs différentes. J’ai d’abord choisi le noir, le bleu, le rose et le jaune, puis j’ai rajouté le vert et le rouge, et mes deux dernières créations sont de couleur violette et orange.
J’ai très vite trouvé une autre manière de m’exprimer, car c’est un aspect essentiel de ma vie. J’avais incarné des princesses chez Disney, et j’y ai découvert un monde qui m’a fascinée, celui des pins. J’ai commencé à en acheter, à suivre des créatrices sur Instagram… J’avais des idées en tête, et bien envie de les concrétiser. C’est ainsi qu’est née ma marque, Bamby Original.
Quel est votre tableau préféré et pourquoi ?
Difficile d’en choisir un seul, j’adore Chain Gang et Lay Laser Lay. Ces deux tableaux ont en commun d’offrir une belle liberté d’interprétation. Ils laissent beaucoup de place à l’évolution, à l’expression de ce qui est en moi et que j’ai envie de partager. La sensualité sauvage, presque animale, de Lay Laser Lay est pour moi quelque chose de puissant, que j’aime m’approprier.
Qu’est ce qui qualifie selon vous la Crazy Girl ?
La Crazy Girl est pour moi une somme de trois « C » : classe, charisme et cambrure. Mais évidemment, être une Crazy Girl c’est bien plus que cela ! Ce qui est important aussi, c’est que ma part « Crazy Girl » et mon « autre moi » ne font qu’un. Même si je joue un rôle sur scène, j’y emmène mon vécu, mes émotions, je suis toujours sincère et en parfaite harmonie avec moi-même. J’ai d’ailleurs beaucoup d’admiration pour les femmes en général, particulièrement pour ma tante dont la force impose le respect…et pour mes collègues Crazy Girls !
Venez découvrir notre Bamby Splish-Splash dans le show Totally Crazy!, retrouvez également ses créations à la boutique du Crazy Horse au 12 avenue George V, Paris 8ème.
Endroits privilégiés pour communiquer et échanger avec son public et sa communauté, les réseaux sociaux font partie depuis longtemps du quotidien du Crazy Horse.
Si vous ne les avez pas encore adoptés, découvrez sans tarder nos différents comptes, dont les nouveautés devraient vous plaire !
Laissez-vous envoûter le temps d’une minute et quelques secondes avec celles qui chaque soir incarnent les tableaux magiques et mythiques du Crazy Horse. Un tête à tête pour découvrir les secrets des Crazy Girls cela vous tente ?
Sous la forme de lives et de vidéos dynamiques, les iconiques danseuses du Crazy se prêtent au jeu des questions-réponses, des tutoriels beauté, des sessions de yoga ou encore des cours de danse pour les Crazy Fans, avec pour règle d’or la spontanéité et un brin d’audace. Plusieurs Lives Instagram ont été réalisés durant la fermeture du Crazy Horse, des moments surprenants, parfois touchant et toujours espiègle... à l’image de la Crazy Girl.
Hippy Bang Bang, Bamby Splish-Splash, Laila Liberty et Pixelle Canon ont partagés de purs moments de joie et d’espièglerie à découvrir sur Facebook et Instagram.
Sur Instagram, les Crazy Girls dévoilent les dessous du cabaret ! Et c’est avec beaucoup de naturel et de simplicité qu’elles transportent leurs nombreux fans dans les coulisses et les espaces VIP du Crazy Horse… Fous-rires, séance maquillage, et belles histoires d’amitiés sont au rendez-vous.
Suivez les Instastories des Crazy Girls et plongez avec délices dans un bain de bonne humeur, de charme et d’impertinence !
Chanteurs, grands sportifs, comédiens, acteurs, et danseurs, tout le monde veut venir passer une soirée TOTALLY CRAZY dans le mythique cabaret parisien. Retrouvez toutes les photos des stars accompagnées des Crazy Girls sur le compte Twitter du Crazy Horse, ainsi que les dernières nouveautés en temps réel.